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Dans les pays démocratiques, le syndicalisme est une composante de la société civile. En Afrique, à l'instar des autres associations, des Organisation Non Gouvernementales et des Fondations, les syndicats se retrouvent dans tous les domaines essentiels d'activité. Dans le milieu universitaire, notamment chez les Enseignants-Chercheurs et Chercheurs, les syndicats sont multiples et multiformes. En Côte d'Ivoire, les différents syndicats du milieu universitaire engagés pour le bien-être des formateurs s'engagent aussi pour une éducation de qualité. L'un des baromètres de cette éducation de qualité pour favoriser la société durable est la réduction, voire la mise en veilleuse de la grève, au profit d'autres moyens de revendication. Ce texte vise à montrer l'impact des moyens de lutte, au-delà de la grève, des syndicalistes sur la qualité de l'enseignement universitaire. Mieux, ce texte met en exergue les acquis des syndicalistes en rapport avec la bonne qualité de l'enseignement. Il répond donc à une question principale : Comment la mise en veilleuse de la grève et les acquis des syndicalistes témoignent-ils de la qualité de l'enseignement supérieur en Côte d'Ivoire ? Cette question implique les suivantes : Comment dans le passé, la grève a-t-elle impacté négativement la qualité de l'enseignement supérieur en Côte d'Ivoire ? Quels sont les moyens mis en œuvre actuellement par les politiques pour favoriser un Enseignement de qualité, débarrassé des grèves ? Comment les syndicats ont-ils favorisé l'implémentation de ces nouveaux moyens de revendication décidés par les politiques ? Quels sont les acquis syndicaux en faveur de l'enseignement de qualité ? Comment l'enseignement de qualité peut-il contribuer à la construction d'une société durable ?
La réponse à ces questions exige la considération de textes sur le syndicalisme, l'actualité de l'enseignement supérieur et les sociétés en Côte d'Ivoire. Elle implique également des entretiens. Les méthodes qualitative, herméneutique et analytique sont donc nécessaires.
